Azelik-Takedda fut une importante cité commerciale, située à environ 130 km au nord ouest d'Agadez. En surface se rencontrent nombre de tessons de poteries et autres meules dormantes, mais le plus important sur ce site, demeure certainement les restes d'habitat composés de “bâtiments ouvrant sur une seule cour” et trois mosquées, dont deux possédant un minaret en partie en pierre. De plus, des cimetières d'époque islamique ont également été retrouvés tout autour du site (Bernus and Cressier 2011).
Azelik, nom actuel du site de l’ancienne Tigidda, aussi appelée Takedda ou Tacâdda par les auteurs arabes et visitée en 1353 par le géographe arabe Ibn Battuta, était le centre d'exploitation et de commercialisation du cuivre, mais aussi une halte caravanière dans le commerce transsaharien entre Boucle du Niger et Égypte. Ce ne fut sans doute pas une terminaison d’un axe commercial, mais une halte, un passage obligé pour sa ressource en eau et pour le paiement des droits de traversée du royaume. Il ne devait pas y avoir non plus de rupture de charge à cette étape, car la ville n’était pas une ville suffisamment peuplée pour développer un marché important à approvisionner, tout au plus les caravanes devaient-elles se fragmenter pour poursuivre leur route vers Gao, le Bornou ou vers le sud.
Elle fut l'objet d'une fouille archéologique, dans le cadre d'un programme d'urgence de la RCP 322 de l'ORSTOM1, urgence au vu des futures exploitations minières de l'uranium dans les année 80. Ce programme a permis de dessiner les contours urbains de cette cité, mais aussi sa région d'influence, et d'en esquisser l'évolution des peuplements (Poncet 1983).
Cet ensemble urbain de sédentaires était tenu par des Messufa qui nomadisaient en dehors de la cité, mais nombre de tribus cohabitaient en ces lieux : Imasdraghen, Imiskikyian, Illissawan, Tawantakat, Iteseyan, Igdalen, Attawari, Kel Eghal, ces deux derniers appartenant aux Iberkoreyan. A coté des Sanhadja voilés vivaient des groupes hausaphones comme les Gobirawa, les Azna, les Katsénawa, dont certains pouvaient être les ouvriers du cuivre, mais aussi des populations songhayphones.
Les Imasdraghen sont probablement les habitants d’un faubourg d’Azelik-Takedda dont ceux d’In Gall seraient les descendants.
Les Imiskikyian, Illissawan, Iteseyan nomadisaient plus sûrement aux piémonts de l’Aïr, les Tawantakat n’ont pas laissé de traces, mais c’est une tribu qui a pour origine la boucle du Niger
Les Igdalen, bien que présents de longue date dans la zone, ne semblent pas jouer de rôle et se contenter de leur positionnement maraboutique, tandis que les Iberkoreyan influenceront plus ou moins la politique locale avant de se faire chasser de l’Ayar au XVIIè siècle.
Bernus et Cressier ont décrit la ville comme une pentapole, c’est à dire un ensemble de 5 unités territoriales avec plus ou moins de spécialisation, l’oasis de Takedda (Bernus and Cressier 1992). Déjà Malfante au XVé siècle évoqué Takedda comme un ensemble de 3 Ksour, Bangu Béri, Tadraght et Takedda (Hamani 1989). le PAU ayant ajouter à cette liste le caravansérail d’In Zazan et les sources de Gélélé.
Azelik est le foyer urbain le plus important de la ville, siège de la transformation du cuivre dont les « mines » sont situées à proximité. Les recherches archéologiques de surface y ont dénombré de nombreux ateliers de fonte du cuivre, le transformant en bâtonnets qui servait de monnaie locale. Sur ce point le récit d’Ibn Battuta et les éléments archéologiques se rejoignent. Deux mosquées principales existaient toutes deux avec un Minaret dont la base au moins était en pierre, ce qui dénoterait peut être une origine Maghrébine et traduirait bien la situation commerciale entre ces deux zones. Les populations présentes sont bien entendu les commerçants qui dominent la vie quotidienne urbaine : le juge Abou Ibrahim, le prédicateur Mohammed, le professeur Abou Hafs et le cheikh Sa’id, fils d’Aly Aghioûl un maghrébin qui voyagea avec Ibn Battuta (Defrémery et Sanguinetti 1858).
Gélélé est le site de notre oasis le plus éloigné d’Azelik, mais il est aussi selon les datations carbone effectuées peut être le plus ancien, celui sur lequel les activités de salines puis de cuivre auraient pu commencer. A Gélélé l’exploitation des salines semble être collective, celui qui ramasse le sel c’est pour lui, alors que plus tard à Tegidda n’Tessemt, la propriété des salines est mise en place (Bernus et al. 1976), ce qui là aussi peut dénoter la prise en main de ce terroir par une autre population, c’est à dire qu’il n’y a pas eu continuité de Gélélé à Tegidda n’Tessemt.
A l'est de Takedda se trouvent d’autres sources qui suintent de la même faille que celles d’Azelik et sont dénommées encore aujourd’hui Tadraght, qui signifie « la montagne » ce qui paraît somme toute très exagéré au vue de la faible protubérance qui émerge au dessus de la plaine de l’Ighazer. Mais il n’est pas impossible que ce soit pour une fois le nom des Touareg Imasdraghen qui donnèrent le nom à ces sources, puisque comme Lacroix le précise, Imasdraghen « ceux de la montagne » est opposé à Es Suf « ceux de la plaine » ou Messufa (Bernus and Cressier 1992). Ces 2 tribus seraient donc venues ensemble de la boucle du Niger. Il ne reste que très peu de constructions à Tadraght donc vraisemblablement beaucoup moins urbanisé, et servant peut-être plus d’abreuvage des animaux de la brousse, les sources d’Azelik pouvant être réservée à la ville elle-même. Plus au sud est Bangu Béri « le grand puits » en Songhay, peut être réserve d'eau de la ville habitée par des groupes songhayphones.
Entre ces deux sites, In Zazan qui pouvait être un caravansérail dont la fonction n’est pas assurée, peut être fortin, mais qui ressemble plus à une prison, peut être pour parquer les esclaves qui transités par cette halte commerciale. Il est d’ailleurs étonnant de retrouver cette forme délimitée encore de nos jours, notamment plusieurs dizaines autour de la ville minière d’Arlit. Il n’est pas assuré de leur fonction, mais on peut y voir par moment des bâtiments, mais elles sont le plus souvent dénudées. Leur technique de construction actuelle est dès plus simple, un engin ratisse la terre et la ramène sur une ligne droite pour constituer un merlon de terre, les traces sur les images satellites ne trompent pas. De la même manière que notre caravansérail, elles possèdent une sorte de couloir d’entrée qui débouche sur une grande cour de 30 à 50 mètres de côté. Si la vocation défensive n’est pas assurée, celle de discrétion semble plus établie, tout comme pour un caravansérail qui protège des yeux comme du chapardage.
Fagoshia est tout proche de Takedda à une vingtaine de kilomètres au Sud, et produit aussi un peu de cuivre, mais sans véritable installation d'une transformation. Elle est assez vraisemblablement contemporaine de Takedda et pourrait être le siège au moins estivale du Sultan Messufa Izar au vu des quelques céramiques tournées d’importation qui matérialisent l’aisance de ses résidents5.
Tebangant beaucoup plus au sud évoluera postérieurement à la chute du royaume de Tigidda en un petit centre religieux situé à une quinzaine de kilomètre au nord de In Gall.
Les sources de Tegidda n'Adrar et Tegidda n'Tagait devaient être connue et utilisées, mais ces dernières n'avaient pas d'établissement fixes, ce n'est que plus tard que l'on relèvera des éléments de type "urbains" somme toute bien modestes.
Le cuivre
L'exploitation du cuivre en Ighazer est la justification de l’installation d’un site urbain en milieu très inhospitalier et qui servit l'expansion du royaume de Tigidda jusqu'au sud de l'Aïr et la Tadarast. Takedda sera la capitale d’un royaume courtier qui maîtrise les échanges commerciaux entre Sahara et Sahel, mais aussi un royaume rentier grâce à sa production de cuivre7.
La sédentarité des populations à cet endroit s'accentua avec l'exploitation des gisements de cuivre qui transforma la capitale en centre minier, avec une source de travail qui transitée déjà par l’Ighazer, les esclaves. Ce travail des esclaves, qui n'exclue pas la présence de quelques forgerons socialisés pour la partie finale de l’affinage du minerai, peut expliquer la technique simpliste d'extraction du cuivre qui étonna grandement les archéologues de la métallurgie, car cette technique est en régression flagrante avec les techniques de la fin du Néolithique.
Les premiers indices archéologiques relevés sur le site nous indiquent que l'exploitation du minerai dura au moins 300 ans du XIIè au XIVè siècle. Deux éléments essentiels marquent l’industrie du cuivre, ce sont les cupules laissées par le broyage du minerai sur les terrasses gréseuses et les creusets servant à affiner et purifier le métal rouge. Les cupules ne sont pas présentes à Maranda, signe que l’extraction initiale du minerai procédait d’une autre technique, de plus les creusets retrouvés à Maranda sont plus gros et plus grossiers que ceux de Takedda et en nombre infiniment plus important (Bernus and Cressier 1992). S’il n’y avait pas ou peu de broyage concassage préalable à l’affinage du minerai à Maranda, il fallait alors chauffer beaucoup plus de roche dans de plus gros creusets pour obtenir le précieux métal et effectuer cette opération de très nombreuses fois. Maranda sous un climat plus clément possédait certainement une ressource arborée suffisante pour ces travaux, même si on peut présager que cela ait fortement dégradé l’environnement immédiat du site. Le broyage plus fin effectué à Takedda pourrait être le résultat d’une présence bien moindre de la ressource énergétique nécessaire à l’affinage du minerai, technique qui serait donc plus adaptée aux conditions écologiques du nord de l’Ighazer.
Ces éléments, même s’ils ne sont pas déterminants car on peut imaginer qu’une population fasse évoluer sa technique devant à un nouvel environnement, s’intègrent néanmoins dans ce que le PAU a proposé avec la céramique, il n’y a pas de continuité entre Maranda et Tigidda renforçant ainsi la présomption d’un nouvel apport de population avec de nouvelles techniques.
Si l’on peut être certains que ce ne sont ni les Turawa ni les Touaregs qui exerçaient cette activité, il ne reste que les populations hausaphones et songhayphones qui devaient exercer cette industrie, potentiellement l’une à Maranda et l’autre à Takedda. S’il peut sembler qu’à la lecture de ces quelques lignes, ce sont des populations songhayphones qui étaient présentes à Maranda et des hausaphones qui exploitèrent à Takedda, rien ne l’assure encore vraiment et de plus amples argumentations seront nécessaires pour proposer un cadre d’évolution des peuplements plus serein.
Après extraction, le cuivre était fondu en baguettes, certaines fines et d'autres plus épaisses qui servaient de monnaie (Defrémery et Sanguinetti 1858). Cette utilisation monétaire est supposée par Robert du côté de la ville de Ghana, le cuivre étant ici préparé à Tegdaoust et vraisemblablement importé du Maroc (Devisse 1990). On se souvient aussi de la caravane perdue dans la désert Mauritanien de Théodore Monod avec des lingots de cuivre. Malfante nous rapport également que le commerce du cuivre était assuré par les génois au XIIè siècle, jusqu’au pays de nègres (De la Roncière 1918). « Pour eux, le cuivre servait de monnaie : avec les lamelles de cuivre, ils achetaient de la viande et du bois, avec les barres et les lingots, ils se procuraient des esclaves ou du blé ». Ici, Malfante reprend très certainement les écrits ou informations d’Ibn Battuta, il laisse par ailleurs planer un doute sur l’importation du cuivre à Takedda (Hamani 1989).
Au milieu du XIVè siècle, Ibn Battuta signale que le cuivre de Takedda est exporté au Gobir, au Zaghay et au Bornou. Ce n’était pourtant pas les étapes finales de ce cuivre, leur utilisation étant faites par des peuplades du Nigeria, comme les civilisations d’Ifé et d’Igbo Ukwu (Niane 1985a), où plus tardivement du plateau de Jos et la ville de Dourbi Takouchéi vers le XIVè, qui utilise le laiton (Fauvelle 2019). Au Nigeria la source du cuivre la plus proche est Takedda (Kipré 1985). « Kano était le point de départ de la piste transsaharienne qui menait à Ghât et à Tunis en passant par l’Aïr et les mines de cuivre de Takedda. Le cuivre était très apprécié dans le royaume de Nupé, ainsi que par les Yoruba, qui le mélangeaient à l’étain de Bauchi pour en faire des masques funéraires par le procédé dit à cire perdue » (Cornevin 1975).
Cette exportation vers la zone soudanienne va très certainement être à l’origine des premiers échanges autour de l’axe commercial nord-sud entre les pays Hausa et Takedda et plus tard avec le Maghreb. S’il participa assurément à la fondation du royaume de Tigidda, le cuivre est aussi l’un des éléments de fondement de l’état Gobirawa qui vers le XIIè siècle s’étend sur toute la zone sahélienne entre Ighazer et Gobir actuel. L’on ne connaît pas encore suffisamment le rôle des négro-berbères Gubr qui encadrèrent les hausaphones sahéliens pour donner les Gobirawa, mais l’on sait que le commerce se marie très bien avec des organisation étatiques stables.
Un autre axe d’exportation semble être le royaume du Mali vers la ville de Djeoudjeouah, qui n’est autre que le nom de Gao. Le Mansa Musa au XIVé siècle précise qu’il amène ce cuivre en sa capitale Niani, et qu’il le commerce contre l’or des Akan. Même si cette importation depuis Takedda est loin d’être confirmée, car le cuivre de Takedda serait alors en concurrence avec le cuivre des génois qui avait déjà atteint le Ghana au moins un siècle plus tôt, la destination est toujours la zone soudanienne en échange de l’or des Akan, ces derniers ayant des origines bornouanes et donc connaissant très vraisemblablement l’affection des peuples du Nigeria/Bénin pour le cuivre. Al Umari relatant son entretien avec le Mansa Musa sur le mine de Takedda, précisant que le mithkal vaut 4.25g de cuivre est aussi cher que l'or (Niane 1985b). Même si Mauny de partage pas le fait que la mine évoquée par le Mansa soit Takedda (Mauny 1961), il n'en demeure pas moins que le prix de ce métal était très certainement le même dans la sous-région et donc à Takedda.
On notera qu’à chaque transition écologique, il y aurait un intermédiaire sur ce commerce. Takedda marque une limite écologique entre Sahel et Sahara, dont la seule justification de son existence est l’exploitation du cuivre. Le Gobir comme le Bornou marque la limite en le Sahel et la savane soudaniennes qui vont alimenter la savane tropicale humide avec peut être là aussi des intermédiaires en savane tropicale sèche comme le Nupé ou le plateau de Jos. Si la différenciation écologique marque de tels intermédiaires dans le commerce, c’est bien qu’elle doit aussi différencier les populations et leur organisation dans chacune de ces zones en royaume ou états ayant un environnement assez homogène tant écologique que culturel.
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