L'industrie métallique va matérialiser l'entrée de la plaine de l'Ighazer dans l'Histoire. Néanmoins, ce passage s'étalera sur près de 2 millénaires, car les débuts de la métallurgie n'éteindront pas l'usage des outils lithiques aussi facilement. On peut même dire que ces nouvelles technologies ne changeront pas le quotidien des populations vers un mode de vie de plus en plus nomade, mais sans doute aussi de plus en plus hiérarchisé. Les métaux ont d’abord été transformé pour des petits objets de parures, de prestige voir de symbole de pouvoir pour afficher une position sociale, plutôt que des objets utilitaires destinés aux activités productives (Holl 2020). Cette période marque également le renforcement de l’influence saharienne et protoberbères sur la région de l’Ighazer, même si dans les montagnes de l'Aïr des "réfugiés climatiques" ont pu se maintenir encore quelques siècles non sans faire évoluer leur mode de vie.
Le cuivre
En Ighazer, le cuivre se trouve nativement dans des calcaires dolomitiques. Il suffit alors de l'extraire de sa gangue, puis de le fondre pour agglomérer ces nodules et les travailler par martelage à chaud en objets. L'extraction se fait par concassage roche contre roche, et l'on trouve sur ces anciens sites des cupules sur des dalles de grès à Sekiret, Azelik, Guélélé, Tuluk et sur d'autres sites en Ighazer, car il n'y avait pas une mine unique, mais un ensemble de secteur où l'on ramasse le cuivre dolomitique, là où le niveau minéralisé affleure. Le cuivre est également présent sous forme d’oxydes dans les roches sédimentaires de la région, le plus souvent en compagnie de l’uranium.
Le cuivre 1
Les premières traces de la fonte ont été retrouvées en Ighazer dans la région de Sekiret et jusqu'au sud-est des falaises de Tiguidit à Afunfun, par la présence de fours allongés originaux, matérialisant une pré-métallurgie, ou un âge ancien du cuivre dit cuivre 1, au tournant des 2è et 3è millénaire avant notre ère (Grébénart 1995). Cette métallurgie simple est encore controversée, où du moins c’est son âge qui fait débat compte tenu de son ancienneté et d’un type de four énigmatique qui ne se rencontre nulle part ailleurs dans le monde. Des possibilités d’utilisation de charbons de bois plus anciens comme des souches d’arbre, sont à l’origine de cette controverse. Si l’un des fours semble bien être un reste de souche, et élimine donc les 3 dates radiocarbones les plus anciennes, Killick généralise ce fait à l’ensemble du site d’Afunfun 175, réfutant dans la foulée toutes les autres datations (Killick et al. 1988). Danilo Grébénart est revenu en 1995 sur le besoin de maintenir cette phase du Cuivre 1, au moins sur la première moitié du 2è millénaire, pour ne pas rejeter toutes les dates d’un seul bloc, car il y a des indices forts d’une telle métallurgie dans d’autres fours, et en sus d’autres indices tout aussi vieux ont été repérés en 1992 par Paris dans la vallée de l’Azawagh (Paris et al. 1992). Cette phase technologique du cuivre 1, comme une phase d’usage du cuivre natif, est donc nullement à rejeter (Grébénart 1995), mais nécessite de plus amples recherches pour être techniquement et chronologiquement mieux caractérisée. La communauté scientifique semble ne par retenir cette période en tant que tel (Alpern 2005).
Cette pré-industrie se retrouverait essentiellement sur les sites d’Afunfun, au pied oriental des falaises de Tiguidit et dans la vallée de Sekiret au nord de la plaine de l’Ighazer, qui sont aussi des sites de la phase suivante mieux caractérisée. Potentiellement, la vallée de l’Azawagh accueille également des indices de cette métallurgie, deux lamelles de cuivre accompagnées de nodules de cuprite, à In Tekebrin (Paris et al. 1992 ; Grébénart 1995). Quelques structures ressemblant à des fourneaux de cette période ont également étaient identifiés dans la vallée d’Ikawaten, parallèle à celle de Sekiret mais plus septentrionale (Poncet 1983). Les sites au nord de l’Ighazer ont des dates plus récentes qu’à Afunfun, par contre celle d’In Tekebrin, bien que le contexte ne soit pas établi avec certitude, coïncide avec le site d’Afunfun.
Dans tous les cas, cette étape de l'apprentissage de l'industrie du métal vert est originelle et originale car ne se rencontre nulle par ailleurs dans le Sahara, mais reste encore à confirmer.
Lorsque cesse l’usage des fours atypiques du Cuivre 1, se met alors en place au début du premier millénaire avant notre ère, une nouvelle métallurgie du cuivre à base de fours circulaires ventilés par quelques tuyères, qui sont donc de véritables bas-fourneaux brisés après chaque utilisation. Au delà des nodules de cuivre natif du cuivre 1, ces bas-fourneaux devaient également fondre en mélange le minerais de cuivre plus diffus des roches sédimentaires de la région, marquant ainsi une véritable fusion métallurgique (Killick et al. 1988). La production était composée essentiellement de petits objets martelés, mais peut être aussi de plus gros comme les pointes de javelots. On coule des petits lingots dans le sable, pour confectionner des pointes de flèches, épingles et autres tiges, qui restent des petits objets qui s'insèrent dans le quotidien des populations sans le bouleverser. La céramique est celle du néolithique saharien présent en Ighazer, seule une forme de récipient à décor cannelé paraît propre à ces fondeurs, et tisse un lien avec les populations d’Iwelen. Tous ces vestiges semblent appartenir à un habitat temporaire et feraient des fondeurs de cette métallurgie des artisans itinérants et la fabrication du cuivre une activité saisonnière (Grébénart 1995). Faut-il y voir déjà une spécialisation qui les identifieraient alors comme un groupe spécifique appartenant à un ensemble culturel plus vaste comme les forgerons Touareg ? On peut le penser au vu de la technicité nécessaire pour élaborer un tel travail, assurément collectif.
Danilo Grébénart évalue à une dizaine de kilo la production de ces fours par an, ce qui est très faible (Grébénart 1995). En compensation peut être, des alliages étaient produits avec l’étain et le zinc, présents dans les montagnes de l’Aïr, pour former bronze et laiton de divers bijoux dont l’origine semble le Sahara septentrional. La connaissance empirique des artisans est ainsi déjà bien établie pour maîtriser des techniques qui semblent réservées à un usage particulier.
Autour d'Agadez, le Cuivre 2 se rencontre dans le nord de l'Aïr, à Iwelen et plus à l'ouest dans le massif de Termit, mais sous forme d’objet de cuivre uniquement, jamais de four. A Termit, les objets de cuivre ont été retrouvés en contexte avec des objets du fer (Quéchon et Roset 1974). A Iwelen, au-delà du décor cannelé évoqué plus haut, ont été mis à jour une vingtaine de pointes de lance foliacés en cuivre martelé très mince avec une soie d’emmanchement (Roset 1984 ; Roset 2007), attribuées aux porteurs de lance de l’art rupestre que l’on retrouve depuis la Mauritanie, jusque vers le Tibesti (Dupuy 1998), mais plutôt sur la frange méridional du Sahara (Dupuy 2010). Des gouttes de cuivre ont été inventoriées, signalant la fonte du cuivre, mais aucun four n’a été mis au jour, ni même de pointe de flèche en pierre, marquant que le cuivre était réservé essentiellement à un outillage d’armement et de parure (Roset 2007).
Les deux seules régions au sud du Sahara de production d’une industrie du cuivre au premier millénaire avant notre ère sont donc la plaine de l’Ighazer et Akjoujt en Mauritanie. Pour ce dernier, il est évoqué une possible diffusion de la technique à partir d’un des premiers état européen, El Argar dans la péninsule ibérique, portée par les berbères via l’Atlas marocain. Les pointes foliacées de lance y ont également été mises à jour (Quéchon et Roset 1974). Pour la plaine de l’Ighazer, la connexion avec la méditerranée semble bien plus hypothétique (Alpern 2005). Si cette pointe de lance est un marqueur culturel fort, alors il est proposé de tisser un lien entre cette culture de guerriers à lance et à cheval, d’avec les populations Peul, en début de hiérarchisation sociale autour de ces apparats (Dupuy 2010).
Partout ailleurs dans l’Afrique subsaharienne, l’utilisation du fer succède à l’utilisation de la pierre pour l’outillage, les ustensiles ménagers et les armes. En l’absence d’une métallurgie intermédiaire du cuivre et du bronze, l’on voit mal comment, à la fin de l’âge de la pierre, certains peuples auraient pu découvrir par eux-mêmes l’utilisation du fer et la maîtriser si rapidement sans aucune influence extérieure. Au Niger, comme dans la région d’Akjoujt, le minerai de cuivre a été exploité au moins dès le début du premier millénaire avant notre ère. Les techniques métallurgiques pratiquées dans la région d’Azelik auraient donc pu, en quelque sorte, préparer à l’apprentissage des processus plus complexes de réduction du minerai de fer (Jemkur 2002).
Le fer
Bien que l'on trouve du fer dans tout l'Ighazer, aucune industrie de ce métal n'y est recensée. Elle est cantonnée au sud des falaises de Tiguidit et elle est à mettre en relation avec celle du massif de Termit au sud-est de la plaine argileuse. Cette industrie est le fait de populations sédentaires dont les traces les plus anciennes près d'Agadez, remontent à 600 BCE (Grébénart 1995). Ces populations ont donc cohabité avec les fondeurs du cuivre, et il n'est pas rare de trouver sur les sites d'artisan du cuivre, des objets en fer et vice-versa. Par contre, il n'y a pas d'échange sur les céramiques, très caractéristiques des deux cultures métalliques, ce qui fait penser que les échanges étaient avant tout tournés vers les industries métalliques. Les objets forgés, toujours de petites dimensions sont abondants, comme lames, harpons, pointes de flèche, épingles et anneaux. L’outillage lithique est toujours utilisé avec notamment beaucoup de petits grattoirs servant vraisemblablement aux travail des peaux (Grébénart 1995).
De 500 BCE au début de l'ère chrétienne, se développe une technique avec des fours dont la cheminée est directement posée sur le sol, ce qui est original par rapport aux fours de l'exploitation du fer à partir du début de l'ère chrétienne, qui sont tous semi-enterrés. Une autre originalité frappe sur ces sites, la présence de restes d'habitat aux abords de ces fours. Ces deux éléments, technique et sociologique, mettent en évidence l'originalité de cette population (Grébénart et Poncet 1985). La métallurgie avec des fours semi-enterrés va se développer tout au long des falaises de Tiguidit, sans pénétrer la plaine, et en continuité des premiers fondeurs du fer.
Contrairement aux néolithiques sahariens du cuivre 2, les néolithiques du fer semblent émerger du Sahel, avec une céramique très proche de celle du néolithique sahélien. Ce dernier est néanmoins antérieur aux habitats des fondeurs du fer, dont la sidérurgie qui se trouve dans le massif de Termit est datée elle aussi antérieurement à celle des falaises de Tiguidit, et donnant par la même un sens à l’arrivée du fer en Ighazer, tout du moins chronologiquement en l’état des connaissances, mais peut être aussi géographiquement. Paris met également la céramique de In Tekebrin en relation avec celle de Termit-Egaro (Paris 1995).
Deux théories d’acquisition de la sidérurgie en Afrique s’affrontent régulièrement par publications interposées, définissant ainsi le « front du fer » où les affirmations et contre affirmations fleurissent. Celle dite du diffusionnisme qui verrait, à partir d’Anatolie, se diffuser la technique de fusion du fer entre le début et le milieu du IIè millénaire avant notre ère, avec deux voies de diffusion nord africaine par Carthage et nilotique par Méroé et celle d’une possible ou de possibles inventions autochtones au vu de la présence du minerai dans toute l’Afrique et d’une grande diversité des matériels et techniques employées pour l’extraire. Ce débat scientifique a opposé très tôt les chercheurs, dès les années 50 entre Raymond Mauny et Henri Lhote par exemple (Holl 2020).
Pour l’Ighazer, il ne semble pas que cette dernière ait été défendue, mais elle le fut pour le massif de Termit voisin (Quéchon 1995 ; Quéchon 2002), bien que si le fer y est attesté, il faut bien reconnaître que le nombre de four mis à jour est réduit. Ce qui pose le plus souvent problème sont les dates anciennes qui motivent l’invention autochtone, dates qui souvent sont mises en défaut par leurs détracteurs. Dans tous les cas, il ne serait pas illogique de chercher un lien de la fusion du fer encore plus au sud avec la Nigeria actuelle, et peut être même avec l’Adamawa centre-africain, où des dates également anciennes du deuxième voire du troisième millénaire avant notre ère sont proposées (Holl 2020).
D’autres, assurent que la fusion du fer ne peut être acquise que par la suite d’une première métallurgie plus simple, celle du cuivre par exemple puis laiton et autre bronze. Ainsi, l’Ighazer qui héberge une industrie simple du cuivre, au moins durant le premier millénaire avant notre ère, mais peut être plus tardivement au deuxième millénaire avant notre ère, pourrait être une origine possible de la métallurgie de Termit et peut être plus au sud également. Les diffusionnistes relient ainsi l’Ighazer et Akjoujt en Mauritanie, les deux productions de cuivre en Afrique de l’ouest, qui pourraient être liées à la péninsule ibérique qui connue le cuivre dès le troisième millénaire avant notre ère (Alpern 2005).
Les falaises de Tiguidit semblent donc marquer une frontière culturelle entre les néolithiques sahéliens de la métallurgie du fer et les néolithiques sahariens de la métallurgie du cuivre, frontière qui fait écho aux deux théories faisant venir la métallurgie par le cuivre et le nord, mais qui semble plus en interaction qu’en continuité avec celle du fer venant du sud. Grébénart note bien les échanges d’objets métalliques entre ces deux cultures, mais aucun échange au niveau des céramiques ce qui renforce la frontière culturelle (Grébénart 1995), entre des sahariens nomades et des sahéliens plus sédentarisés. Les falaises de Tiguidit seraient potentiellement l’un des points de rencontre entre les métallurgies du fer et du cuivre, plutôt qu’une continuité. Au début de notre ère, la métallurgie du cuivre disparaît de façon abrupte, les raisons en sont encore inexpliquées pour un métal tant convoité (Grébénart 1995). Le fer aurait-il supplanté le cuivre, les porteurs de lances auraient-ils étaient remplacés par les porteurs de javelots ? Ou tout simplement, nous n’avons pas encore retrouvé de traces du début de notre ère dans cette région.
Vers 400 de notre ère, la réunion de ces deux métallurgies va donner naissance au Domaine de Maranda, véritable centre métallurgique près des falaises de Tiguidit, où le métal sera encore exploité et sans doute transformé, en provenance des gisements alentours mais potentiellement aussi importé par le commerce transsaharien qui va aussi y trouver une halte salvatrice. Nichée dans les falaises de Tiguidit, Marandet se situe à l'intersection des mondes, les paléoberbères sahariens, les sahéliens qui occupent l’Azawagh à l’ouest de la plaine de l’Ighazer, peut être déjà songhayphones ou véhiculant une influence de la boucle du Niger et d'autres sahéliens qui occupent le sud-est des falaises de Tiguidit, très en relation avec les soudanais de l'Aïr, du Termit et de l’influence kanuriphone. Enfin, une influence hausaphone du Nigeria, non encore caractérisée.
Que ce soit le cuivre ou le fer, les métaux semblent surtout et d’abord utilisés pour des questions de prestiges, d’objets de parure et ou de symbole de pouvoir, utilisés pour afficher et consolider l’émergence de statures sociales au sein du groupe. Ce n'est que plus tard, après quelques siècles et très probablement plus, lorsque les technologies ont été maîtrisées et répandues, que la production métallurgique a été mis au service de la fabrication d'outils utilisés dans les activités productives (Holl 2020).
Quelle continuité ?
Les relations ethnologique entre les prémices de ces métallurgies et celles qui ont résisté au temps pourront donner quelques indications sur la survivance à travers les âges des pratiques de la sidérurgie. Les travaux de Nicole Echard au Niger nous y incite (Echard 1975 ; Echard 1983). Ainsi, on remarque un différenciation aujourd’hui entre les forgeron blancs, pour le Cu et l’argent et les forgerons noirs pour le fer, Ces derniers sont « sans histoire, sans mémoire » et ne fondent pas de village. Leurs migrations répondent à un besoin régional, le plus souvent motivé, délimitant ainsi un espace forgeron inter régional où se développe une unicité de la pratique. Aujourd’hui, les habitats sont éloignés des lieux de production, ce qui marque une différenciation culturelle au sein de la population, l'activité étant "rejetée" de la zone d'habitat, que ce soit pour des raisons de salubrité ou autres. Ceci est différent de ce qui est observé le long des falaises de Tiguidit pour l’industrie du fer.
La fonte était faite grâce à un travail coopératif, ne serait-ce que pour le concassage du minerai, la taille du bois, ainsi que le transport de la cheminée qui était, au cours du XXè siècle, réutilisée et non cassée. Les traditions des forgerons de l'Aïr et du Gobir actuel, positionnent la naissance de cette industrie du fer aux abords des montagnes Azuza, et Teleginit dans la plaine de l'Ighazer, bien qu'on y ai encore retrouvé aucunes traces de ces métallurgies du fer. Mais est-ce bien la mémoire du fer dont il est question dans ces traditions ?
Malgré certaines différences, le fonctionnement des derniers fondeurs du Gobir, observé par Nicole Echard, ne contredisent pas plus que cela les artefacts aujourd’hui mis à jour, un groupe de spécialiste qui s’éloigne des habitats lorsque vient le temps de faire surgir la loupe de la terre (Echard 1983).
Références
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